Asie

Moments clés, troisième trimestre de 2024

Dans un contexte de ralentissement de l’inflation et de hausse du chômage, les banques centrales, dont la Banque du Canada, adaptent leurs stratégies pour soutenir la croissance économique. Dans ce numéro, notre équipe de placement étudie la stratégie de la Banque du Canada et analyse les actions canadiennes et américaines, les effets de la politique gouvernementale sur les marchés chinois et les occasions sur les marchés obligataires et de crédit.

Moments clés, premier trimestre de 2024

Les actions ont grimpé en flèche au cours des six derniers mois. Compte tenu de la baisse de l’inflation et des prévisions plus élevées à l’égard de la croissance économique, plusieurs se demandent s’il y aura une récession. Entre-temps, la Banque du Canada est dans une situation délicate. Une réduction trop importante et trop rapide des taux pourrait nuire à l’économie. Malgré l’évolution rapide des prévisions, notre équipe explique, dans ce nouveau numéro, comment l’incertitude n’est pas nécessairement synonyme de faiblesse des marchés.

Moments clés, quatrième trimestre de 2023

Du point de vue du marché, l'année dernière s'est achevée sur un sommet inattendu. Quelles sont les perspectives pour cette année ? Les estimations consensuelles prévoient une croissance modeste en 2024, ainsi qu'une baisse de l'inflation, une hausse du chômage et une baisse des taux. Mais de nombreux facteurs doivent être pris en compte. De plus, comme l'a montré l'année dernière, il y a toujours des surprises à l'horizon.

Moments clés, troisième trimestre de 2023

Sommes-nous en légère récession? Peut-être, mais c’est difficile à dire pour l’instant. Peu importe dans quelle direction les marchés évolueront au cours des prochains trimestres, l’économie post-pandémique deviendra probablement plus prévisible… et c’est une très bonne chose pour les investisseurs!

Commentaire sur les placements, 3e trimestre de 2022

L'inflation place les banques centrales entre l'arbre et l'écorce: augmenter les taux juste assez pour modérer l'inflation ou nous faire basculer dans une récession. Les banques centrales n’ont cessé de faire état de leur engagement à réduire l’inflation, mais, en septembre, elles semblaient animées par un sentiment d’urgence.